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La logistique joue un rôle fondamental dans la vente d'un bien matériel. C'est la dernière interaction entre le client et le vendeur dans la transaction, et la livraison dans les délais appropriés est un facteur très important dans la perception du service par le client final.
Dans de nombreux cas, et surtout dans les opérations entre professionnels, il existe un contrat qui régit les modalités de livraisons et les délais dans laquelle les livraisons doivent être effectuées, ainsi que les exigences du vendeur (chargeur) pour pouvoir respecter les engagements (réception de la commande, leadtimes, spécifications de qualité, etc). Parfois, le transport est effectué par un tiers qui peut avoir - ou non - un engagement contractuel avec le chargeur, ou éventuellement avec le client, mais, rarement, il a un lien avec les deux.
Dans ces cas, ou dans le cas d’achats ponctuels où il n’y a pas d’accord commercial formalisé entre le chargeur et le destinataire de la marchandise, il existe un
triangle de responsabilités délimitant les responsabilités de chacun des acteurs et, surtout, les procédures en cas de litiges. Cette situation peut générer de nombreux problèmes et situations de désaccords à résoudre et consomment beaucoup de temps et d’énergie. C’est une cause de stress pour les différents acteurs et également une source d’augmentation des coûts de l’opération.
Il est recommandé que cette relation tripartite soit toujours régie par des contrats. Dans le contrat client – fournisseur, il convient de préciser clairement les produits faisant l’object du contrat, le mode de livraison, les obligations des parties, et aussi, les pénalités de chacune des parties en cas de non-respect de ses obligations. La responsabilité des parties doit être clairement établie tout comme les engagements pris en cas d’événements imprévus.
La relation entre le chargeur et le transporteur devrait également être régie par un contrat, précisant les délais et les modalités de livraison, aussi bien, que les engagements de service (service level agreements – SLA) et les pénalités éventuelles en cas de non-respect de ces engagements.
Cela permet d’éviter de nombreux désaccords et de limiter le temps qui y sera consacré lors de réunions futures.
Ces trois acteurs, en parallèle, font partie d'un écosystème plus vaste où cohabitent d’autres acteurs, d'autres personnes, d'autres entreprises. Ils doivent veiller à ce que leur activité respecte l'écosystème et garantir autant que possible que ces activités s’inscrivent dans les politiques de durabilité et les politiques de responsabilité sociale des entreprises.
Toute entreprise doit être consciente de l'impact de son activité sur l'environnement. Il s'agit d'un élément fondamental de la conscience sociale, et les entreprises devraient être tenues de s'assurer qu'elles peuvent garantir des actions qui limitent leur impact négatif.
Depuis quelque temps déjà, on observe dans certains secteurs, une évolution des préférences des consommateurs en faveur des entreprises socialement responsables. Les politiques de responsabilité sociale se traduisent généralement par des avantages concurrentiels, et le fait de travailler sur la "bonne empreinte" peut amener une entreprise à rationaliser ses ressources et à optimiser ses coûts en matière de logistique ou d'énergie.
En réalité, il s'agit d'une déclaration d'intention, plutôt que d'une action réelle. Une étude de la Harvard Business Review a analysé la relation entre l'augmentation des rapports sur la responsabilité sociale des entreprises et les émissions de CO2. L'étude montre qu'il y a une augmentation de l'intérêt pour ce sujet, mais sans impact sur les quantités de CO2 qui sont émises dans la réalité.
La tendance européenne est que nous nous dirigeons vers un parcours de responsabilité beaucoup plus complexe par rapport à la chaîne d'approvisionnement. Notamment en termes de droits de l'homme, de travail décent et d'impact environnemental. Il est nécessaire que les entreprises soient conscientes des risques de chaque contrat, puisque la réglementation est imposée par les normes européennes indépendamment des limites contractuelles.
La France propose ainsi une nouvelle « Loi sur le Climat », dont le but est d'améliorer l'efficacité énergétique. L'objectif global est de mettre en place des mesures qui permettront à la France d'atteindre son objectif de réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 40% par rapport aux niveaux de 1990 à l'échéance de 2030.
Les acteurs impliqués dans la chaîne d'approvisionnement ont de plus en plus de responsabilités et par conséquent plus de risques. Nous pouvons en identifier deux types principaux :
Alors, comment gérer le risque dans ma chaîne d'approvisionnement? La solution devrait être :
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